Cette locution latine est sans doute la plus vraie de celles qui existent et n'a jamais aussi véridique que le siècle dernier. De toutes les espèces qui puissent exister sur Terre, l'homme est le premier et le seul à s'autodétruire... L'industrialisation, les guerres, les génocides, la discrimination, la pollution,... Tant d'actions réalisées par l'être humain qui conduiront à la perte et d'eux-mêmes et de leur environnement. Dès son premier pas sur Terre, l'Homme a voulu affirmer sa domination sur autrui, être le plus fort et défier un adversaire qui ne lui est pas de taille... La Nature, elle qui l'a engendré. Elle semblait si vaste, si fournie, si précieuse qu'il a voulu tout s'approprier, tout utiliser, tout transformer, tirer davantage de profit de ce qu'elle leur offre, en faire son image, la rendre docile pour gonfler son ventre et servir des intérêts égoïstes. Des forêts furent rasées pour laisser place à de grandes exploitations industrielles, souvent insalubres et ne répondant pas aux normes de sécurité, sur des terres colonisées et dans lesquelles les populations locales seront forcées à détruire leur biotope pour assurer leur survie par une très faible rémunération. Ces travaux se font dans le non-respect des travailleurs, des conditions de travail et de l'hygiène, abîmant la santé des hommes-ouvriers, femmes-ouvrières, enfants-ouvriers, faisant d'eux des coquilles vides, des bêtes passant à l'abattoir, des robots mécanisés voués à la production, tout cela pour un bénéfice maximum pour les exploitants. Des travailleurs malades, écrasés, ensevelis, morts, tout cela pour votre nourriture, pour vos jeux, pour l'argent, pour le capitalisme, pour servir votre égoïsme et rémunérer des gens sans scrupules. Ces conditions de vie irrespectueuses de l'être humain sont également présentes dans nos contrées, référez- vous à l'article concerné. Nous, occidentaux, vivons à l'ère du jetable, du made in China, de la consommation inconsciente et illimitée en oubliant que la Terre n'est pas recyclable à l'infini et que les blessures causées, à force d'être approfondies, laissent des traces irréversibles. Depuis la révolution industrielle, nos campagnes deviennent villes, nos champs se transforment en territoires aussi infertiles que les plaines de Tchernobyl que l'on gave à l'engrais chimique, plus productif que l'engrais naturel. Désormais, tous les moyens sont permis pourvu que ce soit le plus rentable possible. Des tas de cultures et d'espèces animales disparaissent. On leur en a substitué de nouvelles ayant plus de caractéristiques susceptibles d'accroître la production en manipulant leur génétique en laboratoire. Notre nourriture, toute droite sortie d'une usine chimique n'a plus rien de naturel et de sain, elle est juste là pour vendre massivement à un coût réduit tout en satisfaisant nos caprices. Qu'en est-il des petits agriculteurs locaux sains ? Tout est réduit et mécanisé et fluctue selon le cours de la Bourse. Le métier de fermier, n'étant ni sûr, ni rentable, est mis en péril au profit des importations alimentaires des grandes exploitations étrangères qui utilisent au maximum ces nouvelles techniques, n'hésitant pas à nourrir les citoyens de
plantes modifiées ou de poulets morts. Tout cela pour nourrir au moins cher une très grande catégorie de personnes tout en faisant un bénéfice énorme. La santé des citoyens ainsi que les conditions de vie des humains et des bêtes sont négligées pour le profit. Les Hommes prennent du ventre temporairement, la Terre en perd définitivement. Voilà bien une vérité qui dérange; mais qui,
vraiment lutte contre le réchauffement climatique, qui vraiment lutte contre la consommation, qui vraiment lutte contre les mauvaises conditions des travailleurs et bêtes, qui vraiment revient sur les origines de cette production incessante et indécente ?
La minorité nourrit les esprits de l'idéal capitaliste à atteindre pour être heureux et considéré comme un citoyen honorable, dès la prime enfance, faisant croire que l'argent fait le bonheur, de même manière que l'enfant unique est roi. Dès notre premier pas, nous voilà livré au bourrage de crâne contenu par les dessins animés mettant en scènes des princesses effarouchées, de nobles guerriers, d'argent appelé « rançon » dans ces histoires-là, permettant d'obtenir tout ce que l'on veut, et autres allusions subliminales à la grande puissance économique, les Etats-Unis. Une fois passé l'âge des dessins animés, nous voilà devant des films entraînant notre combattivité et notre compétitivité puisque mettant en scène des hommes devenus dieux dans leur course folle vers la gloire, la renommée, l'or, le bonheur absolu selon l'idée véhiculée. Cet idéal, confrontant la pseudo-fatalité de la vie quotidienne pousse les gens à tout pour atteindre cet idéal trompeur, les tenant au matérialisme, à l'individualismeet à la possession. Qu'ils se détrompent, le bonheur n'est ni matériel ni permanent, chacun doit le construire et l'entretenir mentalement à partir de diverses petites actions ou situations qui nous donnent une satisfaction. Le bonheur se trouve dans les choses simples et dans la contemplation de la Nature et de l'esprit. Pour cela, il faut revenir à l'esprit critique et à la sensibilité, valeurs qui nous ont été ôtées par la société, faisant de nous des êtres amorphes et insensibles. Vivons notre vie et ne la subissons pas ! Faire plaisir à des gens qu'on aime dans un but désintéressé, rêver, ressentir de la joie, admirer des oeuvres qui nous touchent et surtout réfléchir au bonheur, sans quoi vous ne pouvez vous définir comme heureux ou malheureux. Et si vous êtes malheureux, dites-vous que pour avoir cette notion de malheur, il faut forcément avoir connu le contraire, essayez de retrouver cet état initial par diverses manières, il n'y a pas de recette qui mène au bonheur, il faut le
construire et ce ne sont pas les possessions qui vous amèneront à l'atteindre. Il faut cultiver et entretenir son esprit à la façon d'un jardin. Le corps joue aussi un rôle là-dedans. Qui ne s'est jamais défoulé de cette manière après une dure journée de travail ? Le sport est indispensable pour évacuer le stress et conserver une bonne ambiance. Et cela, les patrons le savent, viennent d'ailleurs d'être entrepris dans les entreprises des cours de yoga, de badminton et autres sports destiné à la relaxation, à l'évacuation des mauvaises pulsions. Mais le sport qui fortifie, qui fait d'énorme bienfaits aux gens, se réalise pendant plus de temps et au grand air, pas dans des salles confinée avec ventilation et éclairage artificiel. Les vraies cultures du corps et de l'esprit ne sont pas rentables et néfastes pour le patron, cela prend bien plus de temps et suscite la réflexion personnelle. Ils préfèrent les substituer à une éducation de l'esprit et du corps préformatés, c'est-à-dire le strict nécessaire dans les valeurs capitalistes, l'éducation ou bourrage de crâne minuté qui se fait dans les classes, les salles de sport ou les bureaux. Another brick in the wall. Seules quelques rares personnes parviennent, par hasard, à atteindre l'idéal capitaliste, devenu le but de l'existence. Le but de l'existence ne se réduirait-il qu'à des biens matériels ? Un bien, seul contentement offert par une société inégalitaire, n'est que l'illusion d'un plaisir. Mais réellement, ne s'agit-il pas encore de faire vendre tout en divertissant la population, en leur donnant un but personnel dans une société impersonnelle et en la détournant des questions existentielles menant à remettre en cause le système matérialiste et inégalitaire dans lequel nous vivons ? Chacun doit cultiver son corps et son esprit afin de construire son bonheur.
De la peur de l’autre
Des corps armés dans nos rues, des caméras de vidéosurveillance qui fleurissent tous les cinq cent mètres, des chiens, des mesures strictes,... Tant de moyens mis en œuvre pour lutter contre la délinquance. Trouvez-vous normal d’être en permanence filmé, que ce soit dans la rue ou dans les écoles ? Dans cette logique-là, à quand les caméras à l’intérieur-même des toilettes pour lutter
contre le viol ou la drogue ? L’éthique doit être ancrée dans l’esprit des citoyens, sans rappels à l’ordre. Personne n’agit par hasard ; s’il le font c’est qu’ils ont forcément quelque chose à reprocher à quelqu’un, et cette situation-là est tout à fait courante puisque les inégalités socio-économiques de notre monde ne sont pas à prouver. La population et les gouvernements ont peur de ces hordes de fauteurs de troubles qui sillonnent nos rues, s’attaquent à certains passants, abîment les voitures et sèment des débris sur leur passage. La police et l’armée les répriment de manière violente. Devant un type agressif muni ou non d’une arme, ils tireront un coup de feu, devant un alcoolo, ils sortiront une matraque, et devant de simples manifestants pacifistes qui n’ont aucune allure de délinquant, ils utiliseront du lacrymogène. Pourquoi y a –t-il des délinquants ? Est-il possible que des gens naissent mauvais ou l’éducation est-t-elle en cause ? Faites-en l’expérience, des petits enfants qui n’ont pas encore reçu d’éducation, placés les uns à côté des autres, n’auront tendance à faire mal aux autres qu’en vue d’obtenir l’objet qu’ils convoitent. Cette réaction se produit dans tous les cas. C’est un double exemple, car on remarque d’un côté que l’éducation est le facteur-clé à un bon développement et que les inégalités y contribuent aussi, symbolisées par la présence ou l’absence d’un jouet dans
les mains d’un enfant, surtout dans un monde où l’idéal est marqué par la possession. Le budget sécurité ne sevrait-il pas concerner l’éducation et non la répression ? Si les délinquants ne sont pas éduqués, comment pourraient-ils améliorer leur comportement ? L’éducation ne s’acquiert pas, elle se donne. Après vient l’enfermement des fautifs dans des lieux déjà surchargés, ils sont privé au maximum du droit le plus cher de l’être humain : la liberté. La nature l’a cédée à une cour en béton, et la seule fois où ils en sortiront, c’est bien des années après lors de la libération physique ou bien pour être inhumé. Enfermé entre quatre murs, l’être humain ne peut s’épanouir, au contraire, il devient fou et s’autodétruit. Ces délinquants, petits ou grands, se radicalisent et apprennent la haine de l’autre, la vraie haine, celle qui tue, non plus pour obtenir quelque chose, mais par plaisir de détruire à son tour tous ceux qui l’ont détruit. Certaines personnes, ne parvenant ni à assumer leur méfait, ni à accepter leur incarcération, se retrouvent sans but et se noient dans l’alcool ou la drogue, ou plongent dans des mouvances religieuses extrêmes dont les meneurs se servent de la faiblesse mentale, de l’anéantissement des condamnés pour parvenir à leur fins, en les ralliant à leur cause en leur donnant « une raison de vivre ». Ce qui, au lieu de résoudre le problème, cause du tort et pour le détenu et pour la population qui sera menacée une fois celui-ci hors des murs. Le détenu peut être libéré physiquement ; mais mentalement, c’est, dans notre société, impossible après avoir porté sur vos épaules d’abord le méfait, puis le jugement, puis la peine et puis, une vie extérieure tout aussi hostile. Les gens ne vous regardent plus ou au contraire vous défigurent, vous subissez des brimades autant morales que physiques, vous peinez à trouver un emploi, adieu votre vie de famille, de voisinage et professionnelle. Place à une deuxième incarcération. Trouvez-vous normal que le détenu, après avoir purgé sa peine, se retrouve dans l’obligation d’en entamer une deuxième qui, elle, durera toute la vie et de l’ex-détenu et de toute sa famille, enfants y compris ?
Vendre de l’amour et du rêve
L’amour a perdu sa vigueur, la fleur fane bien vite et voilà le divorce prononcé. Tout d’abord, une image totalement construite fait de l’amour un sentiment physique. Voulez-vous partager votre vie avec une enveloppe vide ? Ils mettent vos sentiments en bourse pour un peu de fric. La saint-Valentin, les cadeaux, les « make-up », les voyages, le mariage, et ensuite le divorce, avant de tout recommencer à zéro...ne représentent-ils pas un joli pactole pour les requins ? Et pour pouvoir soutirer un maximum d’argent et vous tenir prisonniers dans votre nuage, dans l’orage ou dans la pluie épaisse et fade, ne faut-il pas justement vous assigner un ou des conjoints, personnes rencontrées par hasard avec qui vous vous mettrez en couple pour ne pas ressentir la honte d’être célibataire. La honte ? Tout à fait; la société mercantile a tellement ancré l’amour, que j’appellerai ici attirance physique et consommation de l’autre, dans les mœurs, que toute personne célibataire se sent frustrée, laide et incapable d’être aimée. Alors que non, sur les milliards que nous sommes, il y a bien une personne qui nous correspond, il suffit de communiquer et d’apprendre à connaître les gens bien au-delà des apparences. Et ne pas se fier au physique ou à des caractéristiques vaines comme la notoriété ou la richesse. Que vont-elles vous apporter à part jalousies, convoitises et disputes ? Pour se sentir désirées, beaucoup de personnes n’hésitent pas à transformer leur visage en une peinture de mauvais goût, à bombarder d’artifices un corps qui veut respirer la pureté et la vie. Mais comme une rose, votre visage se flétrira, plus vite que pour celles qui ont voulu rester naturelles, de même que l’attirance qu’éprouve votre partenaire qui ira assouvir ses instincts ailleurs. Et c’est là que vous vous rendez compte que votre amour n’était que physique et que vous pouvez commencer les procédures de divorce pour garder un minimum d’honneur, de même que le traitement contre les cancers de la peau, pourvu que vous en ayez encore les moyens.
L’amour ne se résume pas en une consommation de l’autre comme le prétend la société au travers de la vie débridée des stars ou encore des lingeries féminines et des objets sexuels qui donnent à ce sentiment une image très péjorative et trompeuse. Le sentiment physique découle de l’amour, pas le contraire, et il se manifeste autrement que par un comportement bestial et indigne de l’être humain. Vous ne sommes pas des êtres dépourvus de sentiments, ne laissez pas le système envahir jusqu’à votre vie sentimentale.
Une descendance ?
L'être humain, jeté nu sur le sol ne peut s'épanouir correctement. Dès sa naissance, il a besoin d'un accompagnement tout au long de son développement. Le rôle des parents est donc déterminant dans la vie de leur enfant, on peut d'ailleurs constater actuellement que le manque de suivi parental est néfaste d'après la grande proportion de jeunes sans but ne vivant qu'au jour le jour mais se ressassant sans cesse le passé et en faisant abstraction du lendemain. Les deux parents travaillant pour assurer la survie de la famille, leur descendance est laissée pour compte devant la télévision et l'ordinateur qui leur débitent une façon de vivre malsaine et leur bourre le crâne d'un faux idéal à atteindre pour être heureux : l'argent, le pouvoir, le luxe, le sexe et l'alcool font le bonheur.
Vous, ne vous êtes-vous pas une fois vautré devant une série présentant des personnages ordinaires d'apparence, mais étonnement riches, respectés et craints, sans vous dire que vous rêvez de prendre les commandes et d'être à leur place ? Pourtant, ce que des rêves et un idéal inventés par le capitalisme comme je l'explique plus amplement dans un autre article. Cet idéal impossible, combiné avec l'opium du peuple, empêche chacun de penser et d'agir. Les jeunes, devant cette fausse image du bonheur, de la réalisation de soi et de la réussite de leur vie, sont entièrement désabusés et vont jusqu'à se mépriser ou entamer des thèses de suicides « parce qu'ils ne réussissent à rien faire » ou sont se considèrent comme « mal nés » jusqu'à en vouloir à leurs parents. Ils grandissent donc dans un sentiment de mal-être, ne réussissent pas leur études, considérant leur existence et leur situation comme une fatalité et essayent de reproduire au maximum les modèles qu'ils suivent, en l'occurrence les personnes en vues et personnages de séries qui, comme dans toute belle histoire, déposent leur sort entre les mains de la chance, que beaucoup appellent destin. Mais ce n'est pas la réalité. Ils courent après l'irréalisable, après l'inexistant, brûlant chaque facette d'eux-mêmes jusqu'à être aux aussi une part du néant. Cette souffrance bien que d'apparence silencieuse est criée sur tous les réseaux sociaux, et perçue à l'école au travers de médiocres résultats scolaires et d'un esprit de domination. Beaucoup veulent s'affirmer, se démarquer des autres dans un accès d'égocentrisme, beaucoup maudissent leur situation modeste, beaucoup rêvent jusqu'à s'inventer des vies ou bien s'enterrent jusqu'à mettre en scène leur propre mort pour attirer l'attention, pour se démarquer des stars mondiales qui occupent l'esprit de leurs parents et de leurs soi-disant amis, qui n'existent que pour subir des lamentations dans le but d'être à leur tour écoutés. A en juger par les retours de commentaires et la publicité personnelle sur les réseaux que je qualifierai d'asociaux. Rien ne se fait dans un but désintéressé, personne n'est là par hasard. Les jeunes, les plus présents sur la blogosphère cherchent une identité qu'ils ne parviennent pas à affirmer à la maison faute de parents. Les sites dont je parle regorgent de précisions sur votre enfant, sur vous-mêmes, et ces détails sont accessibles par tous, que ce soient des délires, des rêves, des inventions ou tout simplement une haine déversée contre vous qui êtres absents. Et n'importe quelle personne peut entrer dans la vie de votre progéniture et la détruire complètement, n'importe quelle information postée peut nuire au jeune qui, par manque de maturité ou d'esprit critique, l'a postée sans en mesurer les conséquences.
Quels sont les rapports entre parents et enfants si ce ne sont les cris et l'empressement du matin ainsi que les pérégrinations sur une journée épuisante, le soir ? Croyez-vous que votre descendance s'éduquera toute seule ? Pensez-vous que le travail soit plus important que votre enfant ? Pourquoi vous plaignez-vous d'un enfant turbulent si vous ne l'avez pas éduqué ?
Quel monde pour demain ?
Dans un monde où la production et le fric l'emporte sur l'instruction et l'éthique, dictés par des lois servant l'intérêt de cette minorité au pouvoir, l'insurrection est un devoir, nous devons participer activement à la gestion de notre pays. Le pouvoir doit appartenir à tous les citoyens et non être accessible au citoyen dans un système bien défini et trompeur. Nous, nous avons une arme que la minorité dirigeante n'a pas, le nombre. L'union fait la force, rassemblons-nous camarades et frères pour un idéal respectueux du citoyen. Utilisons la parole, les mots, le boycottage, les grèves au finish, les médias et toute autre action pour faire retentir notre voix, la voix du peuple, celle qui n'est prise en considération qu'aux élections forcées. Il suffit d'une simple cale dans les rouages du système pour l'enrayer. Vous avez comment un petit livre de trente-deux pages a été le moteur d'une mobilisation massive ? Construisons ensemble une société égalitaire, solidaire et respectueuse de l'Homme et son environnement, où la seule préoccupation de tout citoyen est le bien-être de la population. Un suffrage ne fait pas tous les autres, participons à notre avenir, offrons-en un à nos enfants. Ajoutons nos pavés à l'édifice du nouveau système.